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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 11:50

J'adore rire, c'est un fait!

Et quand le mental se laisse aller à ces conneries, et que le coeur peut finalement écouter ce que le mental raconte....il y a une explosion de rire!


Quand je fais Le Travail de Byron Katie, c'est souvent dur, souvent aussi surprenant à re-lire les retournements de phrase....je pourrais aussi avoir honte parfois de mon propre comportement vis à vis des autres, mais il n'en est rien....je m'approche comme je le ferais avec un enfant, sachant que je ne l'ai pas fait expres et aussi que je ne pouvais pas faire autrement, avec un esprit embrouillé.


Et puis, des fois....je rigole à en verser des larmes, tellement que le mental a pu me faire croire à des conneries (excuse-moi le mot, mais je ne trouve pas mieux pour le décrire)


Et mon Dieu, quand le coeur rit, on s'illumine.


Ceci n'est pas une vidéo, mais plutot une conversation entre Katie et une femme, qui se rend compte de ça, et l'effet m'a fait tellement rigoler, que je voulais que vous riiez autant que moi....

 



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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 19:28
Non, ce n'est pas une de mes pensées (quoique j'ai connue des périodes où je n'aimais pas trop mon corps...)mais une pensée très recurrente chez beaucoup de personnes.

Et, tout comme se sentir, moche, vieux, petit, chauve, ridé ou autres, peut faire très mal....ce qui est dur avec ces pensées qui finissent par nous obséder, est qu'on ne pense plus à rien d'autre.
On oublie, comme on est beau en réalité, on se fixe sur ça, et on efface le reste de notre vie. (Vie, qu'en réalité, on n'a pas, mais qu'on Est)

Et cette fille, elle est tellement belle! Tellement jolie, et pourtant, elle se trouve moche...elle se punit...

J'aime beaucoup ces vidéos, car Katie explique tellement bien (comme toujours) et elle est tellement remplie d'amour, que ça me donne des frissons. ( la quatrième vidéo est particulièrement drôle, j'adore!)











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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 15:50


Depuis que j'ai des enfants, je me rends compte comment c'est parfois difficile à être une mère.
On fait du mieux qu'on peut, c'est vrai....mais on se pose souvent la question ce qu'ils pensent nos enfants.

Et bien souvent, ils nous le disent, mais on ne les entend pas.
Notre mental ne veut pas savoir ce qu'ils pensent, si ce n'est pas des choses gentilles.

Mais, quand nous étions petits, nous mêmes, on pensait souvent des choses, par exemple, quand papa et maman se disputaient....mais on ne pouvait pas les exprimer, et donc, pendant des années on a gardé des idées qui n'étaient pas forcemment les bonnes;

Et comment dire à sa maman ce que nous pensons vraiment? elle ne nous écoute pas....

Et comment savoir ce que notre enfant pense vraiment, profondemment, de nous?si on ne le lui demande pas vraiment...

Et en le sachant, on peut l'aider à mieux voir les choses et en même temps, se rendre compte de notre propre comportement...

En connaissant mieux les autres, on se connait mieux nous-même.....







Les comms seront filtré par une autre personne que moi, donc les comms injurieux ou de certaines personnes, même si modéres, ne seront pas lu, ni aperçu par moi. Inutile donc de les poster. merci.
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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 19:07


Et maintenant! Toute de suite! Now!

Et si je ne peux pas avoir plus d'argent, je peux toujours avoir la peur! c'est gratuit ça!:
mdrrr!

Comme tout le monde, j'ai eu cette peur mais ( grace au Travail) je ne l'ai plus, je vois bien que ça ne sert à rien d'avoir peur, et que je ne sais pas ce qui peut se passer demain; je pourrais être morte, je pourrais avoir gagné au lotto, je n'en sais rien. Et là, maintenant, toute de suite, je me sens bien! Je beau me tourner et tourner dans mon lit, mais la peur ne m'emmène rien de plus (à part d'une migraine) de ce que j'ai....


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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 19:43
Les sensations qu'on a, on a appris à les nommer, à les interprêter...d'ailleurs, tout dans ce monde est sujet à interprêtation, l'égo sait très bien faire ça, et c'est  pour cette raison là, qu'il est si confus...

Donc, quand on pense à une personne, un être cher, qui est décédé, on prend les sensations qu'on ressent, pour de la tristesse et on pleurt et on se sent mal, mais on pourrait tout aussi bien interprêter (re-interprêter en fait) ces sensations (vibrations) pour de l'amour, très fort.

Ainsi avec d'autres émotions, vibrations...qui a dit qu'une telle sensation doit être de la peur? Et si ce ne l'était pas, et si c'était...


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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 14:02


Une des choses sur lesquelles je sens que je dois travailler, est ma manie d'interrompre les gens pendant qu'ils parlent...

C'est embêtant quand on me le fait, et donc je me suis rendue compte que c'est exactement ce que je fais (et bien souvent!!!) moi même.

Souvent c'est parce que je suis super enthousiaste...mais c'est toujours un interruption et je pourrais très bien attendre..mais quand j'ai lu ce passage du livre "j'ai besoin de ton amour,  est-ce vrai?" de Byron Katie, j'ai commencé à me poser la question plus sérieusement....

Exercice: les interruptions

Une bonne manière d'observer les pensées qui se présentent au cours d'une conversation, c'est de prêter attention aux moments où vous interrompez les gens. Vous remarquez certainement quand autrui vous interrompt au milieu d'une phrase, mais quand c'est vous qui le faite, c'est peut-être moins évident.

Étape N 1
Observez simplement les moments où vous interrompez autrui. N'arrêtez pas votre interruption, contentez-vous de l'observer. Faites l'essai au téléphone ou tout en causant avec votre mère ou avec un collègue de bureau.

Etape N 2
Au moment où vous interrompez autrui, dites-vous silencieusement à vous même:" je ne te laisse pas finir ta phrase, parce que :_________________"(terminez la phrase) Cela ne vous ralentira pas. Observez, et voyez comment la phrase va se terminer par ce que vous vous cachez habituellement à vous même, dans le  flou de la conversation.
Voici quelques exemples de ce que les gens ont découverts:

"Je ne te laisse pas finir ta phrase, parce que:

....je sais déjà où tu veux en venir, et j'ai quelque chose de plus intelligent à dire"

....je risque d'oublier ce que je veux dire et de rater cette super occasion de t'impressionner"

...je sais déjà où tu veux en venir, et je veux éviter d'aborder ce sujet"

...tu n'es pas assez intéressant pour me distraire de mes pensées effrayantes"

...tu as tellement de mal à t'exprimer que je vais te sauver en le disant mieux que toi

...t'interrompre est une manière naturelle d'exprimer mon enthousiasme"


Quand vous aurez fait cet exercice assez souvent pour reconnaître les trois pensées principales qui vous conduisent à interrompre autrui, demandez-vous si elles sont vraies, puis poursuivez en vous demandant comment vous réagissez quand vous les croyez, et comment vous vivrez sans elles. Puis retournez ces pensées.


Et oui, je l'avoue, il y en a au moins trois de ces raisons que j'ai souvent utilisé ....Parfois, pour impressionner, et donc, encore une fois, une demande d'approbation, comme dans cet article, parfois, parce que j'ai peur de ce que la personne va dire ensuite, (et donc, qu'elle sait la vérité à mon sujet, et qu'elle ne m'aimera pas ensuite, je n'aurais donc pas son approbation) et bien souvent, j'exprime mon enthousiasme....une autre forme de vouloir de l'approbation, parce qu'après tout:" je suis comme toi, tu vois? J'aime les mêmes choses, donc, tu me donnes ton approbation?"

Et la seule approbation qu'il me faut vraiment, c'est la mienne!! Et chaque chose que je fais pour vous, est parce que ça me fait plaisir de vous le faire...parce que je m'aime, je n'ai pas besoin de votre approbation, je n'ai pas besoin de vous manipuler pour l'avoir et donc si je vous donne quelque chose, c'est parce que ça me fait réellement plaisir de vous le donner....ça vient vraiment du coeur! Sans ne rien attendre en retour!

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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 14:13


Mooji appelle ça notre Satsang à nous; retrouver la vérité dans ce qui est le plus dur pour nous, là, où ça nous met le plus en colère, nous rend le plus triste ou nous procure le plus de peur.....

Byron appelle ça aussi, juger l'autre...pour trouver la confusion, pour se libérer...

Combien de fois n'a-t-on pas jugé notre maman? (ou tati, mamie etc) la personne la plus proche de nous, sait où pousser nos boutons...où nous blesser(et ce même pas volontairement, hein?)....et c'est justement là, que se trouve notre égo qui se révolte...qui ne veut pas être vu...s'est la faute à untel!!! Parce que si nous découvrons que c'est nous mêmes....l'égo perd de la place....et la lumière entre.





toujours pour ceux et celles qui ne connaissent pas le Travail de Byron Katie, voici le lien
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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 14:14


J'ai lu ce passage dans le livre de Byron Katie, il y a bien des semaines, mais il m'avait particulièrement marqué, car je ne m'étais jamais rendue compte que cette affirmation était tellement présente, tellement importante, et surtout tellement cachée dans ma vie, et certainement dans votre vie aussi....

ce passage vient du livre "j'ai besoin que tu m'aimes"

Une petite fille est toute à son amusement, sur le terrain de jeu. Soudain, elle se surprend à faire une pirouette. Les autres enfants, autour d'elle, qu'elle avait à peine remarqués, rient et applaudissent. Elle refait une pirouette, pour voir s'ils vont à nouveau applaudir. Sur les terrains de jeu, les gosses disent:" Regardez-moi! Regardez-moi!"; ils sont heureux quand ils suscitent la réaction qu'ils veulent et déçus quand celle-ci ne vient pas. La petite fille n'est pas sûre de ce qu'elle a découvert, mais ça parait excitant.Elle se dit qu'elle a peut-être trouvé le moyen de réussir à s'intégrer. Elle s'efforce désormais d'inventer une nouvelle pirouette, animée d'une motivation qu'elle n'avait pas avant. Elle ne perd plus son temps à s'amuser. elle est désormais axée sur les réactions de son entourage, et cette attitude s'accompagne de l'angoisse de ne pas les obtenir.

Quand nous sortons de l'enfance, nous sommes nombreux à faire des pirouettes d'un genre ou d'un autre et à rechercher de l'approbation de tous les gens que nous connaissons: nos conjoints et nos enfants, nos parents, nos collègues de travail, y compris un inconnu dans l'ascenseur. Cette quête d'approbation fait tellement partie de notre vie qu'elle en devient automatique: C'est à peine si nous en sommes conscients. Il est plus facile d'observer l'anxiété que cela provoque à l'extérieur, parmi nos amis et collegèes. Celle-ci est bavardeet drôle en votre compagnie, mais toute silencieuse quand son fiancé est là.
Celui-là, cire toujours les pompes du patron. Tel autre, doit necessairement être le centre de l'attention.



Je suis consciente que je n'ai pas le droit de vous transmettre tout le chapitre, mais l'essentiel est là...on le fait tous....On cherche des comparaisons entre untel et nous mêmes:"oh oui, moi aussi, j'adoooooooooooore le techno"!" parfois ce n'est même pas vrai. Ou bien on pense qu'on nous aime qu'avec du maquillage, bien habillée (ça a longtemps été mon cas) et on nettoie la maison à fond, tous les jours, parce que si jamais quelqu'un viendrait nous rendre visite à l'improvise, que pourrait-il bien penser de nous, sinon?On raconte fièrement nos diplômes et études, la quartier où on vit, la voiture que l'on a. On essaie de faire plaisir à l'autre, mais on est fâché si l'autre n'iame pas ce qu'on lui offre...
On donne des regards entendus, on sourit, même si on n'en a pas envie, on manipule, juste pour obtenir l'approbation de l'autre, qui, lui en retour, si il nous aime bien, aime juste un image de nous qu'on lui a donné, mais pas qui on est vraiment....

Comme c'est stressant de vivre ainsi, et pourtant, on le fait tous le temps! Le moment qu'on commence à s'en rendre compte....on n'arrète plus de remarquer combien de fois par jour, par heure, même, on essaie de recevoir l'apporbation d'autrui.

et si on prenait tout simplement le risque d'être totalement nous mêmes? On n'a pas besoin de l'approbation de l'autre...si on s'aime totalement,sans retenu, on a seulement besoin de notre approbation de nous mêmes, et bizarrement, du coup, les autres commenceront à nous aimer sincèrement!

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12 août 2009 3 12 /08 /août /2009 21:20
à la demande de ma petite Libellule, j'ai soustitré la vidéo de Byron Katie, sur la difficulté à aimer son corps, chose que la plupart d'entre nous, ont connu à un certain niveau parfois....

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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 15:51


C'est une phrase que Byron aime répeter....qui serais-tu sans ton histoire, sans la croyance dans tes pensées? Que reste-t-il de ton personnage?

Et si tout ce que tu crois, était juste une pensée?

Et si toi, tu étais juste une pensée?

Sans toi, tu serais Qui?

Il y a des personnes qui ne voient pas où se trouve le "travail" de Byron Katie sur le plan de la non-dualité, et pourtant, c'est si simple. Si ce monde est imaginaire, si nos pensées, et donc aussi nos peurs, nos tristesses et autres, sont imaginaires....il ne restera que la Conscience, l'Amour, la Vie, tout en sachant que ceux-ci ne sont que des mots, des pointeurs, car comme la bible le dit si bien, Dieu est, il s'appelle lui même: Je suis...
Impossible de remplir les trois petits points, par autres chose que des pointeurs, car c'est indescriptible....

Et si notre ego avait juste peur de le découvrir? Si on se défait de qui on croit être, on a peur qu'on n'est plus rien...
Mais si on essayait?
Si, petit à petit, pour ne rien brusquer, on se défait des idées, des histoires, ne découvrirait-on pas, qu'à la base, on est....
tout comme Dieu?

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Je suis....



Shandora....on pourrait m'appeler ainsi, en tous cas, le nom n'a pas d'importance....
Ici, j'écris les choses qui me passent par la tête au sujet de mon étude de la Voie des Maitres
Je suis....tout comme vous êtes....esprit avant toute chose!






sagesse

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«Il y a des gens qui prétendent qu'il n'y a pas de vie après la  

mort, dit un disciple. C'est vrai? demande le Maître, évasif.

Ne serait-il pas affreux de mourir et de ne plus jamais voir, ni entendre,  ni aimer, ni bouger?

Vous trouvez cela affreux ? Mais c'est précisément cela que la plupart des gens font  avant de mourir.»

               Anthony de Mello.